DE L'ETRE UNIVERSEL
DE L’ETRE UNIVERSEL
© PATINET THIERRI ERIC
De l’Aube Royale ...
De l’aube Royale, Cité prairial des âges Anciens, l’horizon dessinait un clair rayon du partage de cet Oasis Divin où lentement s’acheminaient La Sagesse et la Volonté, gerbes d’harmonie, lys enchantement d’un Or limpide, course de l’Humain au front de noblesse du Cœur et ardeur de l’Âme, vivifiants messages, et la Prêtresse aux marches de marbres dans le fier talisman des portiques de bronzes d’un geste assurait leur présage pour en offrir l’exonde sillon, les Mages d’écharpes Onyx s’aventuraient au nombre épicé de cette grandeur, Vertu nouvelle à voir, incantation de l’élévation par les routes dissipaient les souffles de la terreur, décomposition de l’Astre, pour épanouir limpide, symbolique, le vif langage de la monade Guerrière, libérer des voiles scintillants ses fruits de vigueur, Vainqueurs du Temps des fardeaux ivoirins des chaînes d’hier, la Vie fleurissant de parfum l’Éden Sacral en leur Temple Divin, mémoire du Couchant de la Nuit et de ses effervescences mobiles, dépassement des limites égarées, flux de l’intensité de l’Action aux avances fertiles, dont le Peuple regardait le Verbe en ascension d’un terme, avec un regard éveillé, circonstance de l’inoubliable parure Ancestrale, dénomination de l’Éclair de l’Azur, Chant Solaire de stance vivace et inexpugnable, hymne repris par les genres dans l’affinité de la gravure stimulant l’hommage d’un parcours à l’ovation d’un fait, de l’adresse Humaine la rive franchie de somptuosité comme d’éclat, les fleuves en distillant aux nefs de la brume le miroir éclatant des algues sous la nue, insigne des équipages dans la nuée du vent et de ses vols d’étoiles scintillantes, clameur des foules en troupes sur les grèves, pluie d’Or au matin sevré allégeance à la pureté inextinguible, pavillon de haute haleine aux ramures de mats d’ébènes, fêtes des visages, coutumes par les sens de la symbiose exaltante dans la compréhension des heures et des joies naissantes, l’aire domaniale en leur sein levant l’oriflamme lui-même destinant l’ouvrage aux plus denses Destinées de la Conquête des lendemains et de leurs ivoires parfumés, ode en chemin, signe de l’attente du Peuple serein, foule silencieuse, Guerriers scandant de leurs pavois la promptitude du reflet de ses ondes conquérantes, délivrées dans les Cieux comme sur la Terre par un souffle de Renouveau, pétale des ramures du pas de la houle, instance des sables et des dunes frontalières, que le chemin dessinait dans un courant de jade et d’émeraude, de schistes et de coraux, vif de l’ultime lumière de l’Iris, évanescence de la Mort et de ses couleurs sans facettes aux heures de l’arrivée frontale, non de la Matière ni même du Spirituel au Nom sacral, mais de l’immortalité de la force de l’Empire au Nom Divin, Matière Spirituel l’embrun advenu de cette ode Magique, désignée, Ovation de la forge de ce jour qui fût vécu par la Sphère, bientôt Renaissance !...
Voici l’heure Souveraine ...
Mais voici l’heure Souveraine et ses fastes d’Or en l’aube blanchie par les houles équinoxiales, feux Solaire du livre de la raison d’Être et de ses éblouissants messages, Ô livre de tout parchemin, instance du Salut et prémonition des vœux, dont les sources enchantent l’oriflamme portée par tous Guerriers au préau frontal de ce Dire, ode advenue livrant des pôles le sentiment de l’Azur à la Sphère d’incarnat, Royaume de l’Agir en ses vertus, ses signes d’exacte ascension de la Vie aux pétales d’une ordonnance délivrant l’Humain de ses racines domaniales et esclaves pour le rendre libre de l’atteinte des troubles de l’impuissance, liberté au Règne qu’Empire la beauté du chant et l’harmonie des suaves déterminations de la saison nouvelle, bâtie Sacre par le jeu de ses surfaces et l’exondation de ses cimes, feu de poudroiement, la joie pour zéphyr et l’accomplissement pour Agir, passation des aubes par l’octroie transcendantal de la pure incantation, du chemin d’Être fenaison l’exaltant sevrage de l’Humain par les routes de ses villes et les chemins de ses sites, étendard de vigueur stimulant les rives insouciantes pour leur rendre moisson de Ciel, incarnat de la densité de l’Existant, ivoire de gemmes l’adage des Sages au reflet d’un miroir opalin situant l’espérance non dans la nuit de l’abstraction mais dans l’éloquence du partage et de son signe inexpugnable, Cœur d’Humanité, enseignement, Verbe de toutes mesures, agencement de l’Ordre conquérant, marche de vive aurore au fruit de la Sagesse et de son opale scintillant l’Éternité et ses symboles, ici d’ambre les calices la venue messagère de l’iris et de son voile dispersé, là de l’émeraude l’apprentissage du renouveau et de ses floralies fabuleuses, plus loin de l’améthyste le souffle Templier bâtisseur de l’élan et de la gravité du Réel et de ses odes arborescents, enfin des ivoires familiers dans l’épure Sacral, prisme de saison, reflet de toutes destinations, insigne Mage de tout Acte, fruit de l’Aube du Solstice et sa couronne, Diadème de l’Humain, portée du rêve en mesure, étoile des gerbes de l’iris de la pluie du Ciel et de son nectar, correspondance de l’infiniment grand à l’infiniment petit, stance d’alluvion propice à la prémisse de la certitude sur l’incertitude, Naissance de Gloire de l’Or de l’Humain en son Olympe comme en son Apogée, de l’Universalité le signe affirmé de tout présage, aventure du Cristal et de ses ovations suprêmes, splendeur des Temps au souffle de l’interpénétration des hymnes, ici et là de la Sphère enchantement quotidien, instance du Temps à l’épisode de la parure Humaine en sa gravure, sceau de son Hymne fantastique, symbiose des fastes de promptitude de l’ordonnance d’un Ordre Signifiant, de la jouvence l’Écrit de prouesse, éclosion de la pérennité de l’ambre Humain en chaque face comme par chaque face, densité de la genèse de l’iris Unitaire de la Volonté impartiale de chaque Être en sa Divinité conquise, reflet permanent de la Nécessité de l’ardeur en la Voie de l’inoubliable épopée de l’Humanité en son Cœur fulgurant, instance Temporel de vaste présage, accession fertile à l’exfoliation Dimensionnelle !...
Table
DE L’ÊTRE UNIVERSEL
De l’Aube Royale
Voici l’Heure Souveraine
Unité frontale le Sillon
Jour de Printemps
Qu’un front pur désigne, l’Enfance
De l’Amour Victorieux
Le Chant Souverain
Éclos du Rythme
L’Éveil Solaire
Connaissance du Respire
Reconnaissance de Lumière
Miroir des Chants
Naissance à l’Éternité
Signe fécond de l’Existant Suprême
En la Vie et par la Vie
Renaissance
L’Humain en sa forge
Insigne la moisson de Demain
Et nos heures viendront
Azur de l’Occident
Floralies l’incantation de l’Univers
Qu’un Ciel Solaire nous enseigne
Chant Diaphane
Dire de haute fonction
L’Agir de tout Devenir
Onde majeure l’épure du Grand Sacre
D’Ambre le Solstice
L’Hymne Universel du Vivant
Que la Chevalerie nous enseigne
Instance de portée majeure
Que l’Être en l’Action
La joie de Vivre
Orbe de notre Devoir et de notre Force
Et nous prendrons vivaces les chemins
De nos Amours éternels
Ivoire des Villes fières
L’éclos des Œuvres pubères
Chant d’Être
De nos marches l’enseignement
À la rencontre de l’Absolu
Dans l’Agir d’énamoure
Et l’Enfance en sa pluie d’Or
Qu’intègre l’insigne Victorieux
Renommée du Chant
Univers de Splendeur
Qu’un Chant de Nature renouvelle
Par le Corps le Sacre de l’enivrant Voyage
De l’Être Universel
Renaissance Sublime
Aux fronts Glorieux de l’Univers Humain
Le Pecq
Le 29/05/1982
Le 10/10/2004
2018
Vincent Thierry