D'UNE ODE VIVE
D’UNE ODE VIVE
© PATINET THIERRI ERIC
Indivisible…
Aux éclats de Vie qui frappent le visage de l’Enfance, aux rythmes d’anti monde qui soudoient l’Univers, se déclame le feu de l’Indivisible, Indivisible de la Pensée qui hors de la passivité, hors des regards atrophiés par la nuit des temps, cherche sa vérité dans le songe des grandes Sphères, puis agit son Verbe découvert au sein de l’Universel, Indivisible de l’Âme juste qui sous le joug se meurt, car les prédateurs, aujourd’hui, se comptent par millions, Indivisible de la Vérité qui renaît malgré les chaînes qui la lient, car elle se prévaut de leur sort par le jeu de son Verbe dont l’Action, au futur de son Chant, éclatera dans l’Aube pour toujours, Indivisible, Verbe haut dont les rayons de lumière sont vent porteur, éradiquer à jamais sur son passage la gluante vermine des obsédés de troupeaux, car Verbe de la Conscience de notre Temps ! Renouveau du plus vaste Verbe, le Verbe de l’Être et de l’Humanité accomplis !
Ce Chant ...
Le jour s’amuse sur les baies claires, vogue une source rare dont l’âpre parfum au ciel d’iris conte le charme d’un mot disparu ; un mot de révolte de long parcours dont l’esprit fixe les chemins comme pour mieux en appréhender les surfaces, un mot simple dont la libération, souple enfantement, marche des crevasses aux monts torturés, un mot symbolique dont l’image seule est faite d’imagination ; pernicieux est le temps aux remparts solides de son chant, rocs d’essences pauvres où la soif à leurs rides coule un manteau de sang et de larmes, indifférence dont s’abreuve l’esclave aux portiques de tourelles gravées de sillons d’or malade ; Ô Chant dont les Odes délivraient l’Amour aux flots de l’Océan fertile, chant d’espoir fuyant les continents pour retrouver le calme d’un songe, chant Solaire délaissant le gouffre pour la puissance Humaine comme le mortel l’Âme pour l’épanchement d’un secret, qui fût Verbe, je l’accorde…
Table
D’UNE ODE VIVE
Indivisible
Ce Chant
Ainsi
Textes
D’une Recherche
La Recherche
De l’existence
Qu’il m’en souvienne
Des grands méridiens
Toutes Villes portes ouvertes
Démarche
D’une Ode vive
Diaphane
Je parcourais
Chants d’Éden
Le fleuve Vivant
Temple
D’Aton
J’en garde le souvenir
D’un voyage inconnu
Forces d’exceptions
De l’état Créateur
Victoire d’Azur
De notre infinie réalité
Qu’une pure Détermination
Éclose en l’Azur
Naissance
D’une Monade
L’Énergie du Devenir
Terre de vaste Dimension
Voix
De l’Universelle beauté
Si grande surface d’Amour
Dans le Vent
D’une Gloire présente
L’écrin guerrier
De l’Être
Le fleuve torrentueux
Naissance d’un Hommage
Appel
D’un rythme Solitaire
Degré d’une Victoire
Certitude
Fascinante
Degré Symbolique
De nos chants
Le grand Nom
Chant d’Humanité
De plus hautes Terres
Essor Noosphère
Paris le 11/11/1977
Le Pecq le 3/09/1983
Le 02/08/2004
2018
Vincent Thierry