FORUM II

 FORUM II


 



Quelque soit la complexité, l'Unité est le fondamental qui assure la cohérence de la totalité, par le jeu des complémentarités, définissant ainsi l'équilibre harmonique.

 


INITIATIVE METAPOLITIQUE
 

Constat



Voici que s’annoncent dans une planification précise les arcanes maîtres de la naissance de l’Europe, dans le cadre du mondialisme qui se réalise sous nos yeux, sans que n’y participent ni les Peuples, ni les Etres Humains, ce qui peut apparaître des plus sidérants pour les défenseurs de la Démocratie. Encore une fois répéterons-nous, mais quel mondialisme ? Celui de l’Universalité, ou bien celui du communisme déguisé sous les fards d’un capitalisme sauvage et agréé ? On est bien loin de l’universalité ce jour ou l’égoïsme parade sur tous les axes de la vie, un égoïsme forcené qui fait ressembler l’être Humain, non pas à l’Humain mais à un animal sauvage à peine dompté par une couche de civilisation, une pellicule sans propos devant l’ardeur du commun à se comporter comme seul et indivisiblement seul face aux autres qu’il ignore spontanément, ne mobilisant son attention que sur sa réussite et son « pouvoir », pouvoir concédé naturellement qui ne le mène qu’à la satisfaction de ses petites ambitions, qui pour les uns démesurées, qui pour les autres amenuisées, toutes faces d’une même dissension voyant les uns comme les autres s’ignorer avec un mépris souverain et atavique. Nous sommes loin effectivement de l’Universalité, de ses fondements basés sur la solidarité et la complémentarité dans une voie symbiotique. Qu’en penser ? Sinon qu’il ne suffit de dire mais de perdurer notre volition pour qu’un jour s’agence sans mépris de l’Humain, de son Identité et de ses Existants, la vitale perception de l’Etre Humanité au-delà des carcans nés de la cupidité et de la violence qui façonnent les lieux de notre Terre en ce jour. Et si les nombres s’inscrivent non dans la contemplation, mais dans l’action et précisément cette action, alors les fondements de la civilisation Universaliste verront le jour, maintenant à distance enfin ce mondialisme édulcoré qui lentement s’enfonce dans une auto satisfaction qui ne peut mener qu’à la ruine de l’Etre comme de l’Humanité.

 
 

Pouvoir Politique
 

Europa




Le maître mot de ce jour est lié à un vote subtil qui permettra ou non à l’Europe de se doter d’une constitution.

Préambule à l’agonie ou au renouveau des Nations, chacun ici jugera. Libre opinion du non comme du oui, les théories politiques s’affrontent avec en filigrane les ersatz de politiques nationales dont les écumes ne sont guère louangeuses : chômage, crise économique, insatisfaction résiduelle des ménages au pouvoir d’achat oblitéré par l’incapacité de gouverner. Incapacité qui fait peur à certains dans le cadre de cette constitution dont le panache relève de la provocation, les Peuples n’ayant pas droit à la parole pour élire les représentants cardinaux et consulaires représentants l’Europe !

Tour de Babel ce jour, construite sans légitimité sinon que celle des amis des amis qui au mépris de l’ordre souverain s’arrogent places et titres sans que les citoyens aient leur mot à dire. La démocratie trouve ici ses limites, elle fait place à la dictature, et il faudrait être aveugle pour ne pas le voir. Que voyons-nous, une banque centrale toute puissante ne comportant aucun observateur gouvernemental, un gouvernement pratiquant l’auto élection sans contre-pouvoir, un système législatif axé sur la destruction des nations et de leurs prérogatives, une gabegie des rôles et de l’argent sans commune mesure, anarchie formant la litière de l’entrisme forcené de pays en voie de développement accouplés aux dérives économiques de leurs propres carences.

Constat, l’Europe de ce jour ne correspond plus à celle pour laquelle a été conçu le projet constitutionnel, ainsi il paraît difficile de lui accorder le moindre crédit, et il serait illusoire et vain de penser que ce projet puisse être réformé s’il est adopté, ses carences permettant de nourrir le parasitisme et ses aisances. Il est donc souhaitable de revoir ce projet dans sa globalité, donner le pouvoir aux Peuples d’élire les représentants consulaires de cette Europe ainsi que son Président, mettre en place un contre pouvoir n’ayant de compte à rendre qu’aux Peuples, ainsi nous sortirons de la dictature larvée pour rentrer à nouveau dans la démocratie.

Il ne suffit pas de rêver mais de prendre conscience, et non pas dans une optique de néophyte, mais dans un esprit d’analyse circonstanciée, de la réalité majeure de cette condition que l’on nous impose, qui ressemble étrangement à la formule, être ou ne pas être, qui ne doit dans ce jour éclore dans un conflit absurde, mais dans une optique constructive, celle d’une Europe réellement politique et nullement inféodée à des désirs de circonstances, infatués à des ordres qui n’ont rien d’européen, guidés par des abstractions qui sont la mesure et la dissonance du devenir que l’on cherche à nous imposer.

Assez de contemplatives insanités, assez de défaitismes outranciers, assez de prières informelles, de mesures sans lendemain, oui à une Europe démocratique, légiférant et légiférée par les Peuples qui la composent, non à cette Europe qui ne ressemble plus à rien, qui à force de vouloir s’imposer comme une force, se retrouve ce jour décomposée par vanité, par orgueil, par couardise, par cordonite, reflets de la dimension de ces "politiques" qui prétendent donner des leçons de morale à la sagesse.

Maintenant si la faiblesse est telle qu’il y ait acceptation de la servilité par nos semblables, il n’y a rien à dire. En tout état de cause, il conviendra d’insinuer le théâtre des opérations et renverser de l’intérieur les rouages de cette utopie bureaucratique dictatoriale, en naissant au cœur même de ses dispositifs constitutionnels les contre-pouvoirs qui permettront de balayer ses aberrations.

Voici le travail qui attend les générations montantes, débarrassées des voiles utopiques qui cernent leurs yeux, afin que naisse une Europe libre et sereine, une Europe harmonieuse, politique, qui ne sera pas l’image de cette tour de Babel qu’elle représente aujourd’hui, évertuée en ses fondements à disparaître inéluctablement compte tenu de son manque de motricité et d’idéal, forces liées aux Peuples qu’elle ignore !




Pouvoir Législatif
 

Le droit doit-il devenir le non droit ?


 
 



Le droit doit-il devenir le non droit ? Le droit est applicable à tous et pour tous doit être élaboré. À quoi assiste-t-on ce jour, à une tentative d’étouffement de la liberté d’expression par les institutionnels des médias, de la presse, et leurs serviles vassaux qui tirent un profit incommensurable de l’esclavage outrancier des auteurs, des musiciens, des créateurs en général, qui demain n’auront plus la possibilité de s’exprimer individuellement sinon que dans la léthargie et l’appauvrissement conditionné des tenants du pouvoir médiatique ! Voila ou nous en sommes dans ce pays qui a fait naître la Liberté, cette Liberté de penser que nul n’à le pouvoir de commettre à son profit, ce profit délibéré et infatué qui livre son dessein à visage ouvert dans son propos de voir taire le logiciel libre, la littérature libre, la musique libre etc ! Je ne saurais répéter assez ici qu’il convient de protéger ses œuvres numériques via la Suisse, sous numérotation iddn (http://www.iddn.org), seul gardien de la liberté créatrice ! Devons nous baisser les bras devant cet assaut primitif de parasites assoiffés ? Non, tout créateur doit aujourd’hui savoir qu’il existe d’autres voies pour s’exprimer, Internet est là et il faut l’utiliser à sa pleine puissance, choisir si possible des providers Américain, seul pays aujourd’hui garant de la liberté d’expression, éditer numériquement et vendre numériquement par l’intermédiaire de cette toile en dehors de tous les providers institutionnalisés de souche ! Éliminer toute antenne sous. fr, de manière à ne pas être recherché par cette nouvelle police politique digne de la dictature communiste ou nationale socialiste qui s’instaure dans notre pays ! Il faut se battre avec cette toile fantastique qui permet de voir ce jour que les créateurs sont multiples, infiniment plus créatifs que les pauvres errements que l’on nous sert et ressert par l’intermédiaire des institutionnels qui, ne pouvant mettre la main sur ces créatifs pour les rendre esclaves et assujettis à leur demeure, ce jour déclarent une guerre législative pour taire la liberté d’expression !

Que chacune et chacun d’entre vous se dresse contre cet état de fait, cette usurpation du droit, car demain ce ne seront plus les logiciels libres qui seront éradiqués, mais les blogs, et les sites internet, jusqu’à ce que paradent ces mentors de la déliquescence des arts qui, voyant leurs gains s’évaporer, deviennent hargneux. Qu’ils ne se rassurent pas, l’Art n’a jamais eu besoin d’eux, car l’Art ne sera jamais un produit comme les autres qu’ils pourront à jamais exploiter, il est écrin de chaque individu, ne leur en déplaise, et chaque individu a le droit, dans le cadre de la liberté de penser, d’exprimer sa réalité, au-delà de leurs surfaces opaques ! Leur temps est compté, ils le savent et voudraient être maîtres, ils ne sont que des fossiles qu’il conviendra un jour d’exposer dans un musée que nos arrières petits enfants contempleront avec horreur, comme on regarde aujourd’hui les marchands d’esclave des temps passés ! Battons-nous et nous ferons respecter l’Art dans toutes ses dimensions !




Contre Pouvoir

Bonne et heureuse année à toutes et à tous !




Préambule en cette nouvelle année cet éditorial pour toutes et tous qui recherchent l’Harmonie et non la désincarnation de nos valeurs.

Signifier l’histoire n’est pas l’objet de cet éditorial, les faits accablants de notre époque suffisent pour que sa portée ici se révèle enseignement. Cependant il convient d’en libérer les lignes motrices dans le cadre des mouvements qui revendiquent son autorité afin d’appréhender la réalité du phénomène auquel nous sommes confrontés, l’altérité. Altérité qui n’est pas unilatérale, mais qui dans le temps a su estomper ses mots d’ordre dans le cadre des civilisations Humaines.

L’accomplissement Humain ne s’est pas fait en un seul jour, il est issu de constructions et de destructions dont l’infini ne saurait rendre compte, sinon que pour mettre en évidence que de l’inexpérience naît l’expérience. Cette expérience acquise par de hauts faits d’armes par la diversité Humaine, en des élans glorieux comme des élans victorieux, est bien plus souvent partage de sang et de haine, partage de pouvoir et conjuration pour le pouvoir jusqu’à ce jour qui voit l’exaction de nouveau maîtresse de l’Humanité, Déesse de l’amertume et des larmes, Déesse pitoyable dont le combat se lève, tel un fléau qui n’a rien de divin, et qui périra par ce même fléau, la nature Humaine sachant toujours se protéger des extrémités périssables en sa demeure.

Il ne s’agit pas ici de dire que tel système est meilleur que l’autre, que telle conception est meilleure que l’autre, que telle vision du monde est plus belle qu’une autre, il s’agit tout simplement de replacer l’action dans son contexte fondamental qui est celui de la Vie et de son pouvoir, de la Vie tout simplement, sans laquelle rien ne peut exister sur cette petite planète en laquelle nous sommes les uns et les autres tenants et aboutissants, en voie d’anéantissement ou de construction, anéantissement par des fondamentaux, qu’ils soient religieux ou politiques qui voudraient voir l’annihilation du Vivant au profit d’un esclavage organisé, construction par des fondamentaux, qu’ils soient religieux ou politiques qui veulent forger l’épanouissement du Vivant afin d’advenir son potentiel de transcendance formelle.

Le lieu n’est pas de dire que dans notre monde tout est parfait, bien au contraire, il reste à construire bien des choses, bien des structures afin de permettre aux Etres Humains de quelque pays qu’ils soient de s’épanouir, mais Rome s’est-elle construite en une seule journée ? Non, et s’il est vrai qu’une partie de l’Humanité vit en dessous du seuil de pauvreté, il n’en demeure pas moins que l’Humain travaille pour l’Humain, dans tous les domaines afin de limiter et d’éradiquer cette abstraction.

L’unité économique, condition sine qua non de la dénonciation de la pauvreté se réalise lentement, mais sûrement, à travers ce monde, duquel il conviendra certes que les Peuples inféodés à des castes, des tribus, des autarcies comme des dictatures, se délivrent, afin que se mènent à bien toutes les actions entreprises, condition première de leur avènement au domaine de l’épanouissement.

La conjugaison des efforts de chacun a amené l’Etre Humain à la conquête spatiale, à la lutte contre les fléaux des maladies communes, à l’assainissement vital de régions entières, pour un mieux vivre qui ne saurait être remis en question. L’élaboration constante de nouveaux produits a permis de libérer la conscience de l’Etre Humain des marques adventices de la nécessité matérielle pour partie, advenant ce jour la révolution de la communication directe, indistincte, source d’une valeur commune qui naît non pas l’espérance mais de par la communauté réalisée l’ascension de l’action dans ce qu’elle a de plus précieuse, l’organisation.

Organisation permettant de naître des projets transnationaux qui permettront, non seulement comme aiment le faire entendre les prosélytes de la destruction, des profits, mais un mieux-être pour chacun d’entre nous, un mieux-être qui ne se calcule pas car ce mieux-être permet la naissance de l’éducation, le partage du savoir, ce partage de la connaissance qui n’est pas l’apanage de quelques sommités, mais le devoir de tous à l’échelle planétaire, partage ouvrant les voies à l’épanouissement de l’individu, et dans son accomplissement, à son pouvoir de transcendance, instance du sacré qui n’est pas conditionné dans une « vérité » mais dans une approche circonstanciée de la Vérité.

Rien n’est parfait, mais tout se parfait, de l’inexpérience naît l’expérience, le paupérisme, nid de la destruction par excellence ou s’initie, faute de connaissance ou faute de savoir inapproprié l’écume mortelle qui frappe nos valeurs, doit être combattu partout où il se trouve, mais pour cela faut il que les Peuples qui y sont soumis travaillent à son éradication par la mise en œuvre de politiques convergentes à l’ensemble des politiques déployées par les autres pays, pour le bien commun et non le bien de quelques-uns, individus, strates, tribus, etc. Il est facile d’attendre tout et de ne rien faire, il est plus difficile de faire, mais à force de ne rien faire et de tout attendre le réel se déracine pour laisser place au rêve, à l’utopie, à la sacralisation du passé, un passé ne tenant pas compte des réalités Humaines d’aujourd’hui, de l’existence du monde de ce jour, un passé qui n’avait pour cadre que des limites conquises sous le joug et par le joug de considérations bien souvent plus religieuses que politiques. Un passé qui surgit, anachronique, levant ses oriflammes dans le sang, avec le sang de la pauvreté éblouie par les contes de ce qui fut, et qui par un conditionnement particulièrement pernicieux, car sans issue sinon que celle de la destruction, apprête son rang à l’intégrisme le plus belliqueux, avant que de l’ordonnancer dans un fanatisme réducteur sous les hospices d’un messianisme trompeur dont la volition corrompt toute demeure, y compris celle de ceux qui se voudraient à l’encontre, car en son lieu n’existe que l’appartenance ou le rejet. Rejet particulièrement fonctionnel si l’on considère les strates concernées qui se trouvent à mi-chemin entre le reniement et l’acceptation, et qui il ne faut pas s’y tromper, compte tenu de la foi réservée, n’auront d’autres choix en dernier ressort que de s’accomplir dans ce vœu de destruction sous peine d’être détruit eux-mêmes.

Dans le cadre d’une étude circonstanciée où la mort ne paraderait pas comme elle le fait, nous pourrions disséquer indéfiniment des rouages permettant la naissance de telle ou telle voie, nous pourrions indéfiniment poser et reposer les questions nécessaires au développement de telle ou telle situation, mais nous n’en sommes plus à ce stade de convivialité qui ne pourrait naître que dans l’esprit de tolérance qui convient à ce monde, esprit très largement obéré dans le cadre des déclarations de guerre prononcées et signifiées par les fondamentaux votifs de l’annihilation de l’espèce Humaine.

Ne nous leurrons pas, il faut bien prendre conscience une fois pour toutes que nous sommes confrontés à une mise en demeure qui ne souffre pas d’équivoque, les faits le prouvent, soit nous obéissons, soit nous sommes détruits. Obéir à qui, à quoi et pourquoi ? Obéir à une consonance religieuse et à ses tenants qui ne souffrent pas d’être contrariés dans leurs domaines de volitions et de pouvoir qu’ils détiennent d’une « vérité » qui n’a pas d’égale car la Vérité, et qui par ce concept répond au pourquoi qui se pose : car nous ne sommes pas induits en cette « vérité » et il faut donc que nous nous soumettions à la précité sans le moindre esprit de contradiction, sans la moindre velléité, sans la moindre révolte, avec le sentiment initié d’une culpabilité totale et intégrale qui nous permettra de nier notre réalité, nos valeurs, notre devenir, notre avenir au profit de cette « vérité ».

Face à ce défi, il convient aux Etres de bonne volonté, de toutes races comme de toutes religions, de se dresser afin de naître un front uni et signifiant qui permettra de réduire et écarter cette menace contre l’intelligence, ce crime contre l’intelligence, crime contre la Liberté, crime contre la Vie, crime contre le Corps, l’Esprit et l’Ame, contre l’Unité de l’Etre et l’Unité des Etres, contre l’Humanité, contre le pouvoir de transcendance de l’Humain, contre l’immanence même dont l’éligibilité ne peut être acquise que dans le cadre de cette liberté vouée au néant par les tenants d’une foi désincarnée.




Initiative Scientifique
 


La théorie de l’évolution


 
  

La théorie de l’évolution ! N’a-t-on jamais vu un singe devenir un homme ? Cela fait maintenant plus d’un siècle que nous vivons avec cette théorie particulièrement réductrice comme l’est par ailleurs la théorie de la relativité ! Et si l’on prenait le problème à l’envers au lieu de s’enferrer dans cet anthropomorphisme délirant ! L’homme en sa représentation s’adaptant à la biosphère en laquelle il se situe ! Mais cela effectivement briserait la loi des caciques des institutions scientifiques et de leurs prétendants ataviques ! Poursuivons le raisonnement, dans 4,5 milliards d’années notre système solaire aura disparu, la vie, je dis bien la vie aura depuis longtemps trouvé des planètes qui lui permettra d’affirmer sa réalité, et cette réalité cosmique, n’a-t-elle pas déjà trouvé sa source d’épanouissement en d’autres temps comme en d’autres lieux ? Et dans le cadre de cette suggestion ne peut-on penser que nous sommes issus de cette volition ? Ainsi au même titre que ceux qui nous veulent descendre du singe pouvons nous affirmer que la Vie s’est adaptée à cette planète et que ce que nous nommons l’humain, lui même s’est adapté à sa réalité ! Et ce n’est pas faire injure que de le penser, injure aux pensants anthropomorphes qui veulent régir la pensée humaine puisqu’en ce cas nous prenons le problème dans sa globalité et non dans une de ses singularités. Il est temps me semble-t-il que l’humain s’éveille à sa condition, non celle de l’éternité en un lieu, mais de passant en un temps, mais bien évidement les croyances consacrées viendront altérer ce propos au nom de prébendes et de cordonites institutionnalisées, qu’importe il en restera quelque chose pour la réflexion, l’esprit constructif de critique, les joyaux du savoir n’appartiennent à personne et surtout pas aux penseurs en rond qui dorment sur d’illégitimes lauriers. La Terre n’est pas tout, l’humain n’est pas issu de cette Terre, il vient des étoiles et retournera vers les étoiles, il est une poussière d’étoile, et composant du tout n’est pas emprisonné par une demeure, il y villégiature, s’y adapte et repars, performant d’un savoir et d’un équilibre. Lorsque l’on considère ce postulat, qui a autant de viabilité que celui défendu par les anthropomorphes, on ne peut qu’être sidéré par la pauvreté du langage académique qui régit les lois scientifiques, regardons en face leur souci d’esclavage : nous serions issus du singe, nous ne pourrions dépasser la vitesse de la lumière, tout voyage dans l’espace nous contraindrait à un retour sur nos pas, en fait on ne fait pas mieux pour dire à l’humain, votre destin est là que vous le vouliez ou non et il faudra que vous fassiez avec, porte ouverte sur l’asservissement le plus complet, c’est ce que dans d’autres termes on appellera le viol de la conscience collective ! Viol des foules permettant aux pouvoirs de gérer au mieux leurs intérêts les plus sordides. Que cette prétention se taise, il est temps, et surtout que celles et ceux qui travaillent sans relâche aux découvertes essentielles de notre univers, conquête de l’espace, conquête de l’infiniment petit, conquête de la vie, ne s’arrêtent au Nom de l’inquisition patentée de pseudo-scientifiques qui légifèrent leur propre incapacité à comprendre l’univers tant il est facile de se reposer sur les découvertes antérieures et critiquer les découvertes du jour qui ne rentrent pas dans le carcan du passé piétinant ! Ce n’est qu’à ce prix que s’éclairera l’avenir, loin de cette obscurité asservie aux pouvoirs qui rêvent de voir l’humain sans devenir afin de mieux le manipuler !


 


Initiative Philosophique
 

Pour une conscience civilisatrice





L’Épopée prend ici sa dimension, et il naît de l’époque le devenir de la pluralité afin de reconnaître non plus seulement le signe des modes, mais la continuité des Chants au-delà des modes.
Et par-delà la continuité, la réalité multiforme voguant vers l’Universelle Harmonie des Œuvres qui enfin peuvent se rencontrer dans l’essor commun de la Pensée et de ses caractères les plus denses, au-delà des labyrinthes exigus des formes, parfois informes, d’idéaux exclusifs et sans âme qui, bien souvent par défaut d’argumentation numéraire, ne sont sources que d’équivoques complaintes menées par des clameurs indistinctes.

La Conscience du propos redevient, cette conscience civilisatrice qui se dresse en défi par-delà les horizons ternes et échus qui ne peuvent plus qu’apparaître, et non plus être, devant les faisceaux qui se tressent, s’identifient, se correspondent, s’amplifient, se mesurent, s’éblouissent, affinant leur majesté là ou, hier encore, ils restaient en sommeil.
 
Et l’Etre parmi les Etres, chacune et chacun en sa redevance de beauté peut enfin faire respire sien de la connaissance et de la reconnaissance de cette beauté, afin d’aller au-delà de la simple constatation de l’oubli, dans l’immensité de la pensée qui désormais n’a plus à se réfugier, n’a plus à se cantonner, n’a plus à se cacher, n’a plus à se défaire, mais bien au contraire à se vivifier de la rencontre des Autres, permise de toujours, enfin révélée dans l’action la plus novatrice et la plus fertile dont la vague immense, qui jusqu’à présent affleurait le Temple de la Vie, peut enfin submerger le rêve et émerger dans le Réel.

Ce Réel bâtisseur ou chacune et chacun est convié, porteuse et porteur de ce flambeau majestueux et couronné inscrit dans la Conscience Universelle, enfin Civilisatrice par cet Univers du Vivant où nous sommes, chacune et chacun, l’étincelle d’une flamme qu’il suffit d’attiser pour en désigner par toutes faces la parure inaltérable.


 


Initiative littéraire
 
 

Clameur à mi-repos





Clameur à mi repos des houles aux fronts d’or, décimant des marginales errances les passementeries abyssales, la voici, nuptiale, conquérante, délivrant l’humaine appartenance de ses scories, ses amertumes et ses délits, dans les cieux mauves féeriques, annonçant la chute de l’ivraie, ses médiocres emphases, ses pulsations délétères, ses insipides saveurs, toutes faces délavées au cristallin endeuillé marquant de leur sceau sénile la pureté des sentiments, la grandeur et la majesté de la beauté, ô fastes de ce qui fut et qui reviendra, lorsque balayés à jamais, les torrents de boue se disperseront, rejoignant leurs létales prières, poussières d’abîmes qui se circonviendront afin d’affronter la juste mesure de leur néant agglutiné, néant issu de leur torpeur, leur arrogance, leur verbe décomposé, leur déchaînement alluvionnaire, esquisses des menstrues qui ne charrient la Vie, mais bien au contraire des chemins mortuaires ennoblis par de reptiliens pouvoirs dont la cervelle nuisible se targue d’imaginaire, faconde de bruissements, de raclements, de supplications, de téméraires illusions, portiques de la nuit voyant croupir leur insolence, nombril alors qu’il existe des milliards d’états vivants qui ne ressemblent en rien à leur devise d’atrophie, cette devise ne voulant voir qu’une seule tête, une seule mensuration, une seule détermination animale, image d’heures sombres, image des défaiseurs de monde croupissant ce jour sous la poussière, image née de toutes dictatures, communiste, nationale socialiste, socialiste, démocratique, dernière née usurpatrice du nom, enlaçant les premiers pour fustiger les humains, les ouvrir au néant dans ce grand cri belliqueux, issu de l’ignorance et de ses fastes, enchaînement liberticide délivrant ses maux tel un volcan purulent, en adéquation avec les tyrannies les plus bestiales, pire encore, car se réclamant du nom de l’humanité alors qu’elle n’est là que pour la détruire, l’immoler au temple de sa dérision, fantasque fantôme dont le nom disparaîtra, lorsque la clameur de ce monde se dressera, fertile, afin de fustiger son néant, cette aberration monumentale voulant voir l’humain dévoyé, enchaîné, esclave jusqu’en ses accouplements, de la pérennité bubonique de sa déréliction !




Table

FORUM II
 
Prélude
 
 
INITIATIVE METAPOLITIQUE
 
Constat
Réveil douloureux pour la dictature
Challenge pour l’Europe
Crise
L’hystérie
BUDGET EUROPEEN
Liban 2006
Effroi
La liberté de penser
 
Pouvoir Politique
Europa
La Paix Civile
Mais voici que la guerre s’installe
L’injure comme devenir politique ? Où allons-nous !
 
 
Pouvoir Législatif
 
Le droit doit-il devenir le non droit ?
 
 
Pouvoir Judiciaire
 
Depuis de nombreuses années
 
Pouvoir Exécutif
 
Conscience de notre temps
De la pauvreté
 
Contre Pouvoir
 
Bonne et heureuse année à toutes et à tous !
Parabole de l’été
Confiance
L’hydre
Des rives de ce pays
Du devenir
Communication
Liberté !
Hymnes de la portée des règnes
Le respect
Intolérable intolérance.
Il était une fois
Enfants d’Occident
Nord Sud
Service Civique, Devoirs, Droits et Respect.
 
Initiative Scientifique
 
La théorie de l’évolution
Catastrophes naturelles
Histoire de science-fiction
 
Initiative Philosophique
 
Pour une conscience civilisatrice
Instance du Vivant
Vent Puissant
Rives renouvelées
Discrimination, racisme, appartenance, couleur ???
Indécence des propos.
De ce Monde
Constatation
Cils en signes
La dictature est à l’œuvre.
 
Initiative littéraire
 
Clameur mi-repos
Des chants novateurs
Des Ages de la nue
Îles sous le vent
Rives Antiques
Des algues de la nue
Clameur
Plaines ivoirines
Don fertile
À Jean
Dessein des âmes de la nue
Rimes en accueil
Libre dessein des heures
La croisée des chemins
Des algues en prémisses
Du renouveau de l’Humain

Vincent Thierry
France
31/12/2006





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