FORUM IV

FORUM IV




Initiative Artistique


À tire d’aile




Des signes s’en viennent à tire d’aile, dans la joie féconde des lys harmonies, libre joie de parcours suranné où l’onde bue est un calice de sépale, danse diaphane d’amazone rompue au sort des écrins, là où les feux antiques se prononcent, clameur du jour aux dunes escarpées, par ces mondes de miel, d’azur, et d’instantanéité, véhicules des pluies vagabondes, de ces îles de promesses qui vont et viennent la densité des règnes, là, ici, plus loin, correspondants la fertilité des joyaux au couronnement frontalier, de pluies de gemmes l’incarnat, le rubis, au prisme des agates semis des ambroisies aux sèves fières et parfumées, festives langueurs des souffles adulés, fêtes de la nue, de l’enchantement de ces préaux de romarin, de l’enfantement qui sourd la prééminence du verbe et son état, danse à midi, danse à minuit, dans le vertige des algues blondes, qui sans sursis, s’épanouissent et se conjoignent pour offrir ce vœu souverain d’être dans le vent, d’être encore et pour toujours le rêve sablier de la jouvence et de ses œuvres, pâmoison d’une secrète ardeur, des impérities l’aventure qui s’inscrit, aux sages bruyères, dans le pré gracieux des ordonnances millénaires, chênes en frises insolentes répercutant les ondes en majesté, iris de la volonté qui s’initie, se développe, s’enrichit et se parfait, vaste flot et tendre élan libérant les senteurs de toute moisson, alors qu’en la pluie solaire se dresse le firmament, des hymnes en débat la profondeur du rythme, la puissance du chant et la compréhension de l’œuvre, alors qu’en pluies de jade s’exhaussent les vœux dans un abandon joyeux couvant le parfum des roses, la tendre clameur des rives apaisées, libérées et exondées des rimes éveillées, portuaires devises aux marbres inscrits s’effeuillant de leurs voûtes pour initier un présent, celui de la Vie dans ses forges et ses écrins, admirable conjonction délibérant les rites d’un passage, de la joie la douceur de vivre, épanchement victorieux de toute harmonie !


Initiative Culturelle
 
 

Mutation




Il n’y avait plus place pour la parole, plus place pour l’action, plus place pour le devenir, dans ce monde narcissique, épousé de sa propre forme informe, un feu y couvait, n’ayant d’autres préambules que ceux de se voir libéré afin de se confronter avec cette léthargie couvrant de ses oriflammes toutes surfaces en viduité, un feu rayonnant, austère et conquérant que rien ne saurait défaillir, tant sa graduation naissait l’expression de la Vie dans son inaltérable densité ! Au-delà de la virtualité comme du factice nés de l’atrophie, cette force prenait mesure du déploiement de l’inconditionné, de cette boue saumâtre en laquelle les sons des chaînes se répercutaient à l’infini dans une forme étrange, née de toute larvaire demeure, fosse où des reptiles assoiffés se conditionnaient pour se nourrir du sang des êtres, ce sang avili et dégénéré par l’immondice et ses cohortes dont les grands prêtres attisaient la haine, haine de la Vie, haine de la Joie, haine de la Grandeur, haine née de leur cruauté bestiale et pandémique se lovant dans un fascinant mirage, celui d’une unité barbare ! Il y avait là mesure du combat à vivre et forger, mesure inexpugnable qui se devait pour libérer de ces entraves les Etres de ce temps et de ce chant, des êtres informes rivés à la demeure de Thanatos, esclaves d’orgiaques affinités qui n’avaient de devenir que la poussière des songes. Monde figé, monde barbare, monde atrophié, il était temps de sortir de la fange son écume, sa pluralité et son exacte ascension ! Ivoire, la nue couvant la cendre, l’affrontement s’évertuait déjà, des souches profondes, reflets de la force civilisatrice les prémisses ! Insigne de la parole de l’acte qui ne se régit mais se renforce de voix en voix dans la plénitude de l’assomption, dans un accord sans failles ! Témoignage, de chaque cité, de chaque horizon, de chaque sillon, l’aristocrate détermination, délivrant la nue de son langage de Babel, nocturne errance n’ayant d’autre but que l’annihilation de l’identité par toutes faces ! La résurgence était là ! Reprise en chœur, marche en avant d’une contraction dimensionnelle souveraine permettant de rétablir la Vie dans son principe et sa splendeur, et réduire à néant les prévarications de tous bords des prédateurs. Vaincre pour vivre ! Cette devise s’emparait de tout existant, en chaque lieu, en chaque temps, en chaque considération du Vivant, et dans le jour éclatant, vit son exaltant message opérer sur toutes surfaces de ce monde, dans une précision organique noyant à jamais les confluents et les affluents de thanatos, dans ce lieu, leur précipice et leur dessein ! Combat titanesque, combat de la faim, combat du désir de vivre contre les dévoreurs et les sangsues de la liberté, combat en tous lieux, en tous regards, en toute identité pour faire renaître la fleur immaculée de la Vie par tous chemins de ce monde hier perdu, délaissé à la barbarie et ses fauves sanguinaires, ces glauques bubons inondant de leurs menstrues les prairies alertes et vives, fauchées hier par le joug du délire et de ses compassions, ce jour renaissantes, majestueuses et signifiantes par-delà l’inconscience putride et ses préaux d’esclaves ! Le sang parlait au sang, le sang de la Vie combattait le sang de l’atrophie, lavant ce monde de ses charniers, de ses lâchetés, de ses horreurs sans noms prononcées par le seul véhicule d’une pensée unique témoignant sa cruauté sur toutes faces vivantes, cruauté infâme, étourdissante, voyant les êtres relégués à de simples entités vouées à la dérision du nanisme individuel et collectif, nanisme intellectuel, nanisme économique, nanisme larvaire où avait disparu toute volonté d’Etre, toute force de vivre, asservissement total voué au fer et au joug de l’esclavage consenti de la naissance à la mort légiférées ! Ce monde s’éveillait enfin à sa joie pour rendre grâce à la Vie, et œuvrer dans le sens de la Vie, marche somptuaire de Peuples Vivants, d’Etres Vivants, en marche d’une unité respectueuse et inconditionnelle, marche vers cette luminosité de la Vie, jusqu’alors broyée par les chaînes scientifiques, politiques, eugénistes, toutes dévouées à la dérision du Vivant, en supports de l’inimaginable, le mensonge accouplé à la cruauté et à la bestialité ! Devises de ces essors d’hier, contraignant l’Etre au non-être, les Peuples à la disparition, les Identités à la poussière, les existants à la désintégration, toutes devises ce jour vitrifiées par cette force purificatrice de la volonté des Etres de ce temps, assignant le devenir de l’Etre en la Vie et non dans la mort ! La mutation était réalisée, cette mutation transparaissant l’infini et non la poussière d’hier, une mutation permettant à chaque Etre de ce monde de se regarder en face et non plus sous le voile de l’ignominie et de ses rives complaisantes, la trahison, la reptation, l’assujettissement, fourvoiement de chaque individu hier, enfin libéré de ces carcans délaissant à la rive les prédateurs et leurs scories, dans leur atrophie mentale et leur perversité consciente ou inconsciente, afin de dresser sur chaque surface de ce monde un respire de Lumière, transcendant l’Universalité en chaque demeure pour l’ouvrir à l’Absolu, vague profonde lavant à jamais les terres de l’abîme insoutenable vers lequel les guidaient ces êtres du néant ne pouvant concevoir un seul instant la Vie en dehors de leur propre narcissisme subjectif, la Vie qui ce jour enfin libérée se déploie par la densité des espaces et vogue sa fertilité dans l’Eternité…




Initiative Politique
 

Orgueil et mépris


 
  



Que ne ferait-on pas pour avilir la France et ses citoyens ? C’est à croire qu’un concours s’est engagé entre les dignitaires de la dictature que nous subissons. Dictature ais-je dis ? Et comment nommer autrement cette dominance qui injurie le Peuple en vendant dans un mensonge éhonté notre pays à une europe bâtie sur l’argile et la disparition des valeurs, et qui telle se dissoudra tant de Babel elle relève, ignorante de ses racines car composite d’atrophies conjuguées qui ne rêvent que de pouvoir et non de volonté ! Car ne cherchez la volonté en ses cristallisations, remparts des parjures et des fortunes élevées dans le sang d’autrui, ce sang de nos Ancêtres qui aujourd’hui se retournent dans leur tombe pour ne plus voir l’ignominie régner ! Beau règne que celui-ci ! Où l’esprit disparaît au profit de la parade, où l’on ne prête qu’aux riches, où les droits Sociaux sont bafoués, diminués, amenuisés, où on laisse crever sans sourciller, (alors qu’il faudrait un plan de sauvetage) deux millions de pauvres pour mieux recevoir des sans papiers qui se révèlent avoir tous les droits et surtout aucuns devoirs. Il leur suffit de manifester pour s’octroyer tous les biens, ont-ils torts ! Non, face à l’enlisement dans la médiocrité et la lâcheté de nos contemporains, et mieux encore, de nos gouvernants qui sont finalement à leur image, ils auraient tort de se priver des droits qu’on leur accorde, le droit non du sang, du service, mais du sol, ce sol que déjà ils revendiquent comme étant le leur, (lorsqu’on entend parler d’union Méditerranéenne, on ne peut que rire, cette Union conquérante existe déjà et va bien au-delà, elle englobe déjà l’Europe, qui se laisse asservir sans broncher comme si cela était du domaine de la normalité) sans que l’on s’inscrive en faux pour les juguler sinon que par des mesurettes qui font rire tout ressortissant de pays émergeant qui savent très bien comment satisfaire leur désir de vivre dans ce pays de cocagne, (plus pour longtemps, les caisses sont vides !), qui en étant étudiant, qui en mettant au monde un enfant, qui en se mariant ou se pacsant, sans que l’état n’ait rien à redire, recevant jusqu’à trois mille euros mensuellement en ne faisant strictement rien ! La gabegie n’a pas de limite, visitez les hôpitaux ! La terre entière vient s’y faire soigner et l’on nous parle de déficit de la sécurité sociale, et l’on taxe en sus des prélèvements sociaux, désormais les malades de souche, le règne de l’euthanasie n’est pas loin, instrument de gouvernement nous a prédit le conseiller du Président qui devrait être jugé pour ses propos discriminatoires ! Mais si la gabegie se limitait à cela ! Depuis quand, a-t-on besoin de neuf cents personnes pour faire fonctionner ce palais qu’on dit présidentiel ? Alors que la dette de l’état est pandémique à souhait ! Pauvre France condamnée à être pressurée comme un citron surtout si elle est de souche, souche esclave de valeurs qui ne sont pas les siennes, de valeurs qui n’ont plus rien à voir avec des privilèges qu’on s’invente ! Lorsqu’on salue le Pape, par un "monsieur", on se demande qui reconnaîtra la France, fille aînée de l’Église, dans ce mépris et cet orgueil démesurés qui s’imaginent gouverner les destinées de ce petit monde ! Petit, si petit est-il avec ces femmes et ces hommes de parade qui sont les officiers d’une banqueroute sans limite, bulle économique qui un jour leur explosera au visage comme ils ne peuvent l’imaginer, faisant ressembler les années noires de 1930 à des années de rêve ! Le mensonge politique comme le mensonge économique ne pourront perdurer jusqu’à la fin des temps, et lorsque la réalité traversera les salles de spectacles que sont les états, les uns les autres en faillites, surendettés, je laisse imaginer leur devenir ! En attendant le racket intellectuel a de beaux jours devant lui ! À commencer par celui de l’écologie politique qui commence à créer ses écotaxes, doublé du racket sur la santé privilégiant, au nom d’une bêtise sans nom la prévarication immédiate par procès-verbaux de fumeurs contrevenants, (contrevenants à la santé d’autrui ? S’intéresse-t-on aux ravages des émanations de gaz oïl dans la population) tandis que le Président de ce pays se permet de fumer le cigare dans son bureau présidentiel, qui est un lieu, au même titre que les autres recevant du public ! Prévarication donc, par l’installation de deux mille cinq cents radars supplémentaires qui serviront au renflouement des caisses de cet état en lambeau qui n’est plus que vestige de ce qu’il fut ! Car il ne suffit pas de faire parler Jaurès, pauvre Jaurès dégusté à toutes les sauces et que feraient bien de relire ceux qui s’en réclament, qu’ils soient de "droite" ou de "gauche", distinction sans fondement aujourd’hui, car il ne suffit pas de créer un gouvernement pluri ethnique, où les ethnocentristes donnent des leçons de "morale" à la France, (on ne peut qu’en rire lorsqu’on regarde ce qui se passe en Afrique depuis la décolonisation, il n’y a jamais eu autant de sang versé, tant ce continent est gangrené par les luttes ethniques, confère le Kenya aujourd’hui), où les grammairiens du verlan fustigent la langue Française, (et cela vous étonne alors que quarante pour cent des enfants qui sortent de l’école primaire ne savent ni lire ni écrire correctement ! Ah la belle institution que celle de l’école publique et laïque, fourrière de l’abêtissement qui ne peut que servir le pouvoir bâti sur le mensonge !), car il ne suffit de se prosterner devant la mort d’un communiste, respectable certes, mais que l’on ne peut tout de même pas déclarer comme le seul héros national, permettant de faire oublier ainsi l’alliance germano russe, l’écrasement impitoyable de la liberté par le communisme dans le monde, ayant occasionné plus de cent millions de victimes, et continuant en ce jour, sans qu’un seul mot ne vienne taire l’outrance de cette idéologie dictatoriale par essence, bien en vue dans cet état qui reçoit des dictateurs de tous bords et fait accroire que d’autres le sont, morale d’intérêts qui n’ont rien de public qui prêterai à sourire s’il ne s’agissait d’une morale immorale du réel qui pénètre le réel où sont adulés les tenants de l’argent Roi, je pense à un otage milliardaire dont l’état se fait le chantre jusqu’à s’abaisser à exhorter une libération de la dite personne, alors qu’un état noble se devait de demander la libération de tous les otages retenus ! De qui se moque-t-on ? Il ne suffit donc pas de paraître pour être ! Les lumières de la scène s’éteindront d’elles-mêmes, déjà les sondages d’opinion font ressortir une chute de confiance qui ne pourra que s’amplifier, la parade de la gabegie étant par trop outrancière et ne correspondant pas aux attentes des citoyens de notre pays. Cela est rassurant, on ne peut se laisser avilir indéfiniment, l’honneur a encore un sens dans notre Pays, et je pense que les prochaines élections le prouveront, municipales avez-vous dit ? Dans cette France très "restauration " je parle d’histoire et non de restaurant, il ne faudrait pas que nos bons princes oublient l’histoire de Jacquou le Croquant, qu’il leur conviendrait bien de méditer avant de prendre des décisions qui appauvrissent économiquement, financièrement, intellectuellement, tant et tant de nos concitoyens (je pense à la taxe sur cette télévision totalement ignoble que doivent verser des retraités, une télévision sans programmes sinon ceux de l’abêtissement le plus inouï, servi par des parasites qui osent se réclamer du nom d’artistes !), appauvrissement du Peuple qui a toujours été un facteur décisif pour le renversement des privilèges ! En attendant Meilleurs vœux à toutes et à tous pour cette nouvelle année qui sera fort riche en événements, n’en doutons pas !

 



Initiative Philosophique


La dictature indestructible ?


 
 
  



L’acceptation, le consentement, la lâcheté, voici les principaux maux de notre société, soumise à une dictature qui se cache sous la dépouille de la démocratie. Devant ce néant qui s’avance sous les voiles du mensonge, il convient de prendre acte, et ne pas se laisser influencer par la reptilienne démesure de ces maux. L’histoire a ceci d’extraordinaire qu’elle est répétitive, elle suit des cycles qui sont la raison même de son existence, et annonce en son principe gaussien naissance, apogée et chute irréversible des régimes lorsque ces régimes ne prennent pas en compte la réalité de l’équation humaine, qui ne se résume à une dualité pouvoir asservissement, mais à une opérande action consentement, non ce consentement que l’on fait accroire ce jour basé sur l’ignorance, officiant le mensonge comme on manie l’épée, mais le consentement éclairé trouvant ses racines dans la rémanence formelle née de la rencontre des actions individuées, dont la résultante n’est pas addition mais multiplication. Ici se reconnaît la Démocratie, dans ce concept qui permet de calculer avec exactitude sa vigueur, tableau de bord énergétique permettant de voir si les énergies sont libérées ou enchaînées. Plus le champ des énergies est libéré, plus la démocratie est vivante, novation et innovation, plus le champ des énergies est enchaîné, ne laissant transparaître qu’une voix uniforme, plus son champ est contraint et ne subsiste en son sein plus qu’une rémanence résiduelle lui permettant quoi qu’il en soit de survivre. Cette rémanence est le levier indestructible de son autorité naturelle à renaître, tel le phénix, de ses cendres. C’est bien pour cela qu’il convient, en pleine connaissance de cet invariant contre lequel aucune dictature ne peut rien, car dépassant le champ limité de ses exactions, de ne craindre ni l’avenir, ni le devenir, quel que soit le principe de l’autorité gouvernante, en quelque lieu qu’elle se situe. La génuflexion des jours que nous vivons, née de la reptation inféodée à une vassalité de circonstance disparaîtra d’elle-même, broyée par ses inconséquences. Nous en voyons déjà se prononcer la réalité, par une chute qui s’accélérera d’une opinion qui voit se ternir de plus en plus sa viduité, devant l’appariement de l’atrophie qui guide les lendemains à naître. La suffisance n’est pas tout, encore faut-il avoir la capacité de cette suffisance, et lorsque cette capacité est inexistante, classée dans cette nodalité qu’est le virtuel, elle ne peut opérer dans le réel. Voilà bien le lieu et le lien inéluctables tous deux, car emprunts l’un de l’autre, causalité et dissonance qui rythment ces jours que nous vivons. En conséquence de quoi, il suffit que le fruit tombe de lui-même, gangrené qu’il est par sa propre considération, par sa propre auto satisfaction, par sa propre déraison, et devant cette invariance chronologique, devient-il vital de ne pas s’inféoder à une lutte contre ce semis en voie de disparition, car ce serait bien là lui témoigner une attention imméritée, mais bien au contraire élever l’avenir dans cette direction qui semble obérée, mais qui ne l’est pas en considération de la rémanence évoquée. Rémanence qu’il convient de faire rayonner, au-delà du débat stérile, de la morgue et de l’orgueil solidaires de cette acclimatation qui semble vouloir éperdre l’avenir de notre Peuple. La résistance se manifestera d’elle même et au-delà de la servilité saura dépasser la convenance de l’appariement pour créer les supports avenants la matérialisation du rejet de la virtualité. Que chacun perdure en son domaine dans le cadre de la Liberté, et ne durera ce phasme que le temps d’un crépuscule, phasme dis-je, car il n’est porteur d’aucune novation, d’aucune réforme, d’aucune action constructive, sinon celles lui permettant de se rassurer et conditionner, préambule d’une maladie qu’il convient de laisser mûrir, pourrir, afin qu’elle fasse disparaître d’elle-même le venin cristallisé de sa création, la dictature et ses supports.

 

 



Initiative Scientifique
 

Orientation scientifique


 
 
  



Ici le lieu, là le temps, et dans la multiplication de ces deux éléments les coordonnées du sens, qui lui-même point de l’unité, vitalisé par la quantité témoigne une coordonnée, celle du Vivant, quadripartition mesurable quantifiable, qui au regard de l’infiniment petit apparaît dans l’infiniment grand, source de la multiplicité de la Vie. Ainsi en ce concept se modélise la multiplicité des formes vivantes, par extension des univers dont le point défini peut se réguler et se témoigner à l’infini. Lieu, temps, unité, multiplicité, le lien n’est pas ici binaire, mais quaternaire. On ne peut plus penser en oui, non, mais bien en oui, oui-non, non-oui, non, témoignage s’il en fut de l’exposition potentielle de la multiplicité de l’intelligence. Mantisse d’une science du réel dont la confrontation avec le réel en coordonnée permettra à l’Etre Humain d’avancer dans ce sillon de la Vie dont il est moteur en ce lieu et en ce temps, mantisse lui permettant de palier aux succédanées répétitives par la mise en œuvre de textures composites (androïdes) qui serviront l’essentiel de ses besoins, l’intelligence bio organique traitée par une programmation quaternaire de ces androïdes permettant l’auto régulation de ses besoins, par le niveau d’intelligence acquis initié. Norme des siècles à venir, ces androïdes permettront l’expérimentation la plus vaste, tant de l’infiniment petit (en réplique à l’unilatéralité du champ d’expérience) que de l’infiniment grand, par ailleurs l’émancipation des besoins naturels, et par là même une régulation naturelle de la natalité et de l’expansion démographique, enfin une régulation totale des flux migratoires devenus inutiles, chaque Nation devenant autosuffisante en ses besoins. Et au-delà la reconnaissance spatio temporelle des différents Univers nous entourant. Au regard de ces expérimentations, l’Etre Humain se révélera libéré tant de l’espace que du temps, ce qui lui permettra d’initier la grandeur de la vie en l’espace lui-même et sa multiplicité, en confrontation de réalités qui lui permettront une accession à une réalité qu’il ne peut pas préjuger actuellement, réalité formelle de la Vie, souffle d’une multiplicité de Civilisations dont la rencontre achèvera un cycle découverte, avant d’en naître un nouveau, celui de la confluence des énergies, mais cela est un autre débat.

 

 


Table
Forum IV
 
Initiative artistique
 
A tire d'aile 
Des feux antiques
Le lieu du Vivant
Des voies nouvelles
Flamboyance
Couronnement
Quiétude
Vagues, antiennes…
Chant du Monde
Dans l'azur prononcé
Amazone septentrionale
De l'Aigle Souverain
Joie féconde
Aux rives anachorètes
Le Vivant inexpugnable
Vagues en semis
En floralies
Hymne pur de la Vie
Embrun fertile
Insistance du verbe
Visiteur du chant
Des âmes
Hymnes
Enchantement
Du Vivant
Vagues épousées
Règnes
Clameur des Oasis
Fêtes
 
Initiative Culturelle
 
Mutation
2040
Vestales anachorètes
Un conte de Noël
 
Intiative Politique
 
Orgueil et mépris
Des faits, des actes 
La France en voie de perdre sa légitimité
La désintégration
La maîtrise du Pouvoir
Utopia Inferno
Recession
Deuil National
Déni de Démocratie
Information Désinformation
Pouvoir Contre Pouvoir
Manipulation mentale
Vers quelle finalité ?
Le dépeçage de l'Europe
Le Droit des Enfants
Résistance
Droit, Conseils, Choix
Lettre ouverte
Dépeçage suite naturelle
Télévision et Caste?
Fiction ? Dictature.
Deux poids deux mesures
Racisme
Le Tibet Assassiné
Catholiques Irakiens !
Démission de l'intelligence
Symptômes de déliquescence
Indécence et restauration
Vous avez dit Sécurité Sociale?
Le labyrinthe
Le banquet
Bas les masques
Réflexion instantanée
Contestation ?
Orientation
Honneur au Peuple Irlandais!
La Dictature affichée en Europe ?
Aux terres renouvelées
Résistance à la dictature
Livre blanc sur la défense et la sécurité
Lopsi, vous connaissez?
L'aveuglement
Honneur et Patrie
A contre courant
Politique ?
Face à l'adversité
Le chantage du (mini) traité
Réflexion
Vassalité
Ossétie et Liberté des Peuples
La ligne rouge
Le grain de sable
DESINFORMATION
Prochaines élections
L’arnaque
Crise, Class action, Droit
Unité ?
L’abjection de l’insupportable
Priorité
Pragmatisme
Coup d'état mondialiste?
A méditer
Documents
La désintégration
Réfléchissez!
Constat
De la saine économie
Bienvenu
Syntaxe
 
Initiative Philosophique
 
La dictature indestructible?
Pragmatisme
Etat et Religion
Racisme unipolaire
Les talibans de l’Esprit
Renouveau
L'Etre fondamental !
Gestuel de ce monde
Face au mensonge
Utopie et Réalité
Eveil et Combat
Ambre du silence
Dans ce préau
Le pouvoir de l’illusion
Dans la nue du Verbe
Système et combat.
En hommage à Soljenitsyne
Systémique de la Voie
De la Lâcheté
 
Initiative Scientifique
 
Orientation scientifique
Un peu de lucidité
Corrélation-causalité

Vincent Thierry
France
18/04/2008





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